Humeurs

Que vous trouviez du sens dans votre métier d’auxiliaire de vie sociale ou que vous n’en pouviez plus de votre condition de proche aidant, que votre bénévolat d’accompagnement vous nourrisse sur le plan émotionnel ou que la législation concernant les métiers des services à la personne vous navre, cette rubrique « Humeurs » accueille vos enthousiasmes, vos ras le bol et invite au débat.  

Le stress du pointage

Le stress du pointage

Devoir foncer sur le téléphone de ses bénéficiaire pour indiquer sa présence à leur domicile gâche ses arrivées. C’est l’avis de Mathilde, une auxiliaire de vie qui aimerait commencer ses interventions avec plus de décontraction.

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Je me méfie des remplaçantes !

Je me méfie des remplaçantes !

En revenant de vacances, Aya n’a pas retrouvé ses bénéficiaires habituels. La faute à sa remplaçante qui avait manigancé pour se faire préférer, affirme-t-elle. Cette année, elle ne fait plus confiance.

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Je ne vous attendais plus !

Je ne vous attendais plus !

Arriver avant l’heure, c’est pas l’heure et après l’heure, c’est plus l’heure. Danu, auxiliaire de vie, aimerait bien que les bénéficiaires comprennent que le temps est indomptable.

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Où sont les collègues ?

Où sont les collègues ?

Soif de collègues…pour partager et échanger avec elles. Voilà pourquoi le jour de la semaine préféré de Cindy, auxiliaire de vie, est le mercredi. Elle intervient pendant une heure en même temps qu’une collègue.

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BLOC-NOTES

Maltraitance collective !

« Aide à domicile, l’autre scandale du grand âge », titrait le 6 mai le quotidien Libération. Et le cas de personnes âgées pas lavées, pas changées, mal nourries dénoncé. Avec raison. Mais où est le scandale ? Niche-t-il uniquement dans l’aide apportée à domicile et jugée inopérante, voire malveillante ? N’est-il pas aussi dans l’injonction de vieillir chez soi en étant « maintenu à domicile » le plus longtemps possible ? N’est-il pas dans la rétribution dérisoire des auxiliaires de vie qui perçoivent moins de dix euros de l’heure pour une intervention qui comprend de la toilette intime, des courses, du ménage, de la conversation ? Ce qui a pour conséquence de rendre leur recrutement compliqué voire impossible ? Quand donc allons-nous comprendre que vivre longtemps expose à devoir requérir de l’aide à un moment donné ?  Et que cette aide a un coût, qu’il va falloir financer collectivement ?

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