Construire de la confiance
« Confiance » est le maitre-mot des relations aidants professionnels et personnes aidées. Mais pas facile de la gagner, cette confiance, et de la garder. C’est ce que rappelle Françoise, auxiliaire de vie.
Lire la suite24,09,21 | Décryptage | 0
« Confiance » est le maitre-mot des relations aidants professionnels et personnes aidées. Mais pas facile de la gagner, cette confiance, et de la garder. C’est ce que rappelle Françoise, auxiliaire de vie.
Lire la suite03,09,21 | Décryptage | 0
Pas facile de dialoguer avec le médecin de la personne qu’on accompagne. Décryptage d’un moment clé avec Mathilde Simonnet, médecin spécialisée en médecine générale.
Lire la suite06,08,21 | Décryptage | 0
Voilà une phrase souvent énoncée parmi les auxiliaires de vie. Se voulant affectueuse, elle traduit en réalité une discrimination envers les personnes âgées. Analyse.
Lire la suite02,07,21 | Décryptage | 0
Les responsables de structures d’aide à domicile ont coutume d’utiliser l’expression « nos filles » pour parler des salariées qui interviennent sur le terrain. Une manière, souvent inconsciente, de renforcer les stéréotypes liés à la profession d’auxiliaire de vie.
Lire la suite30,04,21 | Décryptage | 0
Le cahier de liaison est un objet essentiel dans le déploiement d’un plan d’aide. Il permet à tous les intervenants au domicile d’une personne aidée de se relayer et de communiquer. Encore faut-il maîtriser les codes d’une communication bienveillante pour tout le monde. Ce qui n’est pas toujours évident.
Lire la suiteMaltraitance collective !
« Aide à domicile, l’autre scandale du grand âge », titrait le 6 mai le quotidien Libération. Et le cas de personnes âgées pas lavées, pas changées, mal nourries dénoncé. Avec raison. Mais où est le scandale ? Niche-t-il uniquement dans l’aide apportée à domicile et jugée inopérante, voire malveillante ? N’est-il pas aussi dans l’injonction de vieillir chez soi en étant « maintenu à domicile » le plus longtemps possible ? N’est-il pas dans la rétribution dérisoire des auxiliaires de vie qui perçoivent moins de dix euros de l’heure pour une intervention qui comprend de la toilette intime, des courses, du ménage, de la conversation ? Ce qui a pour conséquence de rendre leur recrutement compliqué voire impossible ? Quand donc allons-nous comprendre que vivre longtemps expose à devoir requérir de l’aide à un moment donné ? Et que cette aide a un coût, qu’il va falloir financer collectivement ?
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